Domino Passion

Dimanche derniers, nous sommes allés voir des papillons à Québec avec ma filleule et sa famille. Nous pensions que nous reviendrions de là avec plein de magnifiques photos; on avait pas prévu que les petites auraient une peur bleue des papillons… bleus! C’était tordant de voir Charlotte, 2 ans, se protéger les joues pour pas que les papillons l'attaquent! D'ailleurs, je me demande: est-ce que les papillons sentent la peur comme les chiens?!? Parce qu'ils n'ont pas lâcher les petites... (En passant, je sais que la réponse est non).

On a ensuite continuer notre route pour une petite évasion de quelques jours au Saguenay... quoi de mieux que de passer quelques jours chez Pepa pis Meman (mouhahahaha! Je ne les appelle pas comme ça pour vrai promis!) pour se changer les idées un peu? Voilà un résumé des mes 3 jours passés là-bas avec mon homme : le tiers du temps, j’ai dormi (zzz), l’autre tiers j’ai mangé (miam! Miam!) et enfin, le dernier tiers, on a joué aux dominos en famille(!). Et j’exagère à peine… Chose certaine, je me suis reposé et j’ai passé du temps avec ma famille. Et ça n’a peut-être pas l’air de ça de même là, mais les dominos, ça apportent des heures et des heures de plaisir!

Nous somme quand même sortis de nos 4 murs le temps d'aller à la cabane à pêche, ou pour les non-initiés, à la pêche sur glace. Mon homme était ben fier de sortir le premier et unique poisson de notre journée.

J’ai aussi eu l’occasion de rencontrer la petite famille d’un ami, enfin! Sa fille est rendue à 1 an et demi et c’est la première fois que je la rencontrais. Ce fût bien agréable, mais chaque fois que je vois un papa heureux avec sa fille dans ses bras, je remarque au même instant les yeux tristes de mon chum et je sais que notre fille lui manque. À moi aussi, bien évidemment… J’ai beau tenter de faire abstraction de mon vécu quand je vois des parents heureux, c’est au-dessus de mes forces. Je suis quand même fière de moi, car j’ai réussi à m’amuser avec la petite merveille sur 2 pattes et je me suis même renseigné sur la grossesse en cours de la maman et je n’en ai pas trop souffert. Mais mon dieu que c’est difficile d’avoir toujours envie de parler, nous aussi, de notre fille, et de réaliser qu’on ne peut pas toujours le faire aussi ouvertement qu’on le voudrait…

Bon ben j’ai été taguée là moi… faudrait bien que je finisse par écrire ces 6 vérités machin trucs! Pourquoi c’est si difficile? Je vais essayer de vous pondre ça avant la fin de la semaine.